• Amel Bent raconte les humili...

    VIDEO Amel Bent raconte les humiliations de ses premiers castings

    « Mais tu vois, avec ton physique… »

    De ses débuts difficiles dans le métier de chanteuse, Amel Bent n’a rien oublié. Aujourd’hui en paix avec elle-même, la star raconte avec émotion la cruauté de certaines personnes qui ne se privaient pas de critiquer ouvertement son apparence.

    Sur la pochette de son nouvel album, Instincts, sorti le 24 février dernier, Amel Bent s’affiche topless, ultime réponse à ceux qui l’ont attaquée sur son poids et son physique. Bien dans sa peau et épanouie, la star de 28 ans évoque à présent sans langue de bois ses débuts dans la musique, marqués par leur lot de coups bas et d’humiliations.

    Louée dès son plus jeune âge pour ses indéniables talents vocaux, la finaliste de Danse avec les stars a eu affaire à des interlocuteurs particulièrement vexants, qui n’hésitaient pas à se montrer très cash avec elle et à pointer du doigt son surpoids. Dans l’épisode de La parenthèse inattendue qui sera diffusé ce mercredi, Amel Bent est revenue sur ces moments très douloureux.

    « J’ai quinze ans, je me tape une heure et demie de RER pour aller faire un casting. Là, le mec m’entend chanter et il me dit "Ta voix c’est un mélange entre Christina Aguilera, Beyoncé et Mariah Carey". Moi, 15 ans, je me dis "Ça y est, c’est maintenant" », se souvient-elle face à Frédéric Lopez.

    Mais malheureusement, son enthousiasme est rapidement mis en pièce par le directeur de casting. Pour réussir dans ce métier, une voix en or ne suffit pas. « Il me dit : "Mais tu vois, ton physique… Moi si je fais un disque avec toi je vais investir de l’argent, les gens vont entendre ta voix, les chansons, ils vont dire, on est d’accord, on part, et quand ils te verront arriver, ben…" », raconte Amel Bent la voix teintée de tristesse.

    Grâce à sa dignité, « transmise par [s]a maman », la jeune chanteuse refuse de perdre la face devant le professionnel, elle fait « comme si de rien n’était », mais la blessure est là, très profonde. « Dès que la porte se ferme, je suis en lambeaux et je pleure toutes les larmes de mon corps dans le RER du retour », poursuit-elle, expliquant qu’elle devait également cacher sa tristesse à sa mère sous peine de ne plus avoir le droit de courir les castings. Si comme le dit la sagesse populaire, ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort, Amel Bent doit être sacrément blindée…


  • Commentaires

    1
    lealapinoux25il
    Samedi 26 Avril 2014 à 17:33
    Merci c'est vraiment super ;)
    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :